Les lignes. Celles de la pensée, celles des structures environnantes, celles de la conscience, des conduites, celles qui parcourent les images, celles qui attirent. La ligne des courbes. Des reflets de la lumière, les couleurs, celles qui brillent et captivent. Les tissus, ceux des poupées et des couvertures. La coloration de tes cuisses et l'heure qui prend ses aises. Une plante verte, des rideaux et des fleurs séchées. Le noir mat des chaises bistro et le reflet du jour sur tes cuisses, des ponts de lumière qui suintent sur ta peau. Des ponts de lumière qui sombrent dans le jour.
D'abord l'absence et l'apparition, d'une fine ligne. Celle de toi, sur une feuille blanche. Comme un imprimé, comme ces fleurs bleues et grises, qui jonchent le couvre lit. Comme ta présence, un parfum gris, une promesse achetée au marché des valeurs.
Tout va bien, le vent, le mouvement bientôt, achèveront de tout effacer.
Nos rêves perdus.
C'est très étrange cette ligne brisée. Ce fut le thème d'une relation que j'ai eu. Nous parlions de ligne imaginaire pour diviser nos espaces. Bref, je n'élaborerai pas sur cela mais parfois, j'ai l'impression que les idées voyages et se transforment. J'ai toujours eu cette impression. Je peux repartir avec votre ligne brisée, votre titre seulement? J'ai besoin d'en faire quelque chose si vous le permettez.
RépondreSupprimerChin aux relations brisées. Et aux lignes du temps qui s'entrecroisent. Merci de rafistoler cette ligne..
RépondreSupprimerDes lignes de fuite.
RépondreSupprimerMais y-a-t-il vraiment un horizon?