jeudi 13 septembre 2012

Version 2


Un napperon fleuri, des traces de confitures dans l'assiette. Il n'y a rien de plus a dire, a écrire ou a y voir. Que ce qui est inscrit, là, dans le jour.


Tes cheveux comme ta nudité, comme tes entrailles.

J'ai cherché la lumière, la vraie chaleur. Ici, j'aurai touché à quelques poitrines. Toutes fermées. Du grain de leur peau, de leur cuisses et de leurs hanches n'est parvenu qu'un peu de chaleur, qu'un léger ruissellement. J'ai perdu mon temps.

Un napperon fleuri, des traces de confitures dans l'assiette. Il n'y a rien de plus a dire, a écrire ou a y voir. Que ce qui est inscrit, là, dans le jour.

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